Com que els límits del meu llenguatge signifiquen els límits del meu món, cedeixo la paraula al poeta Dominique Ané.
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels.
Pourqoui es-tu parti avant que je te l'apprenne?
Le savais-tu déjà?
Avais-tu deviné que des dieux se cachaient sous nos faces avinées?
Tous les baisers reçus savais-tu qu'ils duraient?
Qu'en se mordant la bouche le goût en revenait?
Et qu'il y avait du sang qui ne sècherait pas?
Tu me donnais la main pour boire de ce sang là.
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels.
As-tu pensé parfois que rien ne finirait?
Et qu'on soit là ou pas quand même on y serait.
Et toi qui n'es plus là c'est comme si tu étais plus immortel que moi mais je te suis de près.
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels.
hola Joan, descobri tu blog hace poco y siempre que puedo estoy aqui.
ResponEliminafelicitaciones
bravo !
raaf
pues muchísimas gracias raaf y bienvenido o bienvenida.
ResponEliminaAs-tu pensé parfois
ResponEliminaque rien ne
finirait?
Ingenus que sóm a voltes. És preciós. Llàstima de la finitut, que ni tan sols els bons poemes són immortels...
La ingenuïtat humana si que és immortal.
ResponEliminaSi l'existència fos heraclitiana potser tot plegat resultaria més senzill... o, com a mínim, menys complicat.